Lale Akat fait de la photographie. Ou des photographies, mais moi je préfère "de la" photographie. Après vous le dites comme ça vous chante. Puis elle m'a demandé si je voulais bien écrire deux ou trois lignes au sujet d'elle et de son travail de photographe, tout en restant sympatoche histoire de vendre le truc. J'ai dit oui, tout de suite, parce que j'aime griffonner des mots sur du papier, pour dire des choses, et puis ça a coincé, c'était pas le bon moment, on ne s'était pas vu depuis -trop- longtemps, elle s'était taillée au fin fond de la France profonde, avec armes et bagages, marmousaille et conjoint. Alors d'elle, je ne vais pas dire trop de choses, histoire qu'on reste potes (parce que c'en est une vraiment chouette, même au fin fond de la France profonde). Ça a pris un peu de temps. Et puis en ce qui concerne ses photographies, son travail, c'est plus ennuyeux. Manque de culture en ce domaine, ou de curiosité peut-être, je ne connais pas très bien ce monde, bien qu'y étant sensible quand c'est pas trop mal torché, et je ne me sens pas qualifié pour définir une frontière entre le travail, l'artisanat, et l'art. Mais ce que nous montre Lale ne nous expose pas un art ou une technique, c'est un regard. Un regard sur -entre autres- la ville qu'elle et moi aimons détester, Bruxelles. C'est une ville où vous pouvez voir, si vous regardez bien, beaucoup de gens et beaucoup de choses. C'est une ville avec des nids-de-poule, des parcmètres, des paumés, de la pollution, des embouteillages, des clochards et des cafés. Mais Lale a vu plus que tout autre que Bruxelles est une ville qui est faite, ausi, de pavés et de pluie. Elle a vu que la pluie fait des miroirs dans les flaques, et elle nous le montre. Et bien que, au risque de me répéter, je ne connais pas très bien ce monde, quand je regarde ses photographies, j'ai envie de rire, ou de pleurer, j'ai envie d'envoyer le reste du monde se faire foutre. J'ai envie de sauter à pieds joints dans une flaque d'eau, le nez en l'air, à regarder un clocher, un beffroi, ou les nuages. J'ai envie de voyager à côté de chez moi et de rêver.
— Gaëtan
On ressent chaque émotion de chaque photo, et chaque photo est d’une
douceur sans nom. Belle artiste.
— Camille
Lale est une magnifique photographe qui a le talent de révéler une beauté
sensible et intense des moments de vie, de la nature et de l’humain, une
simplicité heureuse et magnifique.
— Estelle
Il y a beaucoup de vie, de tendresse et de grands éclats de rire dans ces
clichés et, si vous connaissez déjà Lale, vous savez sans doute que c’est
en cela qu’ils lui ressemblent beaucoup. Mais que celles et ceux qui ne la
connaissent pas (encore) se rassurent, ils n’en seront pas moins touché(e)
s par les sourires des mômes – petits et grands – qu’elle a photographiés
et subjugué(e)s par les flaques où elle cueille les édifices que la pluie
fait pousser entre les pavés. Au-delà des compétences techniques
d’une photographe aguerrie, Lale a définitivement le sens de ce moment
furtif entre le «trop tôt» et le «trop tard» pendant lequel il est possible de
capturer des instants de vie qui ne perdront rien de leur intensité, qu’on les
regarde dans deux jours, dans six mois ou dans vingt ans. C’est là un de
ses grands talents.
— Margaux
Nous avons sollicité les temoignages de Lale à 3 reprises, tant nous avons
été convaincus par notre première expérience. Pour nous l’essentiel était
de capter notre atmosphère familiale, avec des enfants en bas âge. On
sent directement que Lale est à l’aise aussi bien avec les petits qu’avec
les adultes et qu’elle peut tirer le meilleur de chacun dans ses clichés. Au
final, nous avons chaque fois reçu près de 30 photos extraordinaires, ce
qui a rencontré toutes nos attentes et plus encore.
— Pierre
De magnifiques photos qui témoignent d’instants magiques, de moments
émouvants et inoubliables !
— Françoise
La meilleure photographe que je connaisse ! La plus vraie et la plus
touchante ! Je recommande à tout le monde de la découvrir.
— Céline